Une veuve gonflée, tombante, en deuil... En voyant les regards des hommes se déverser sur ses seins voluptueux, qu'on aperçoit même à travers ses vêtements de deuil, elle a pitié de son mari décédé, mais sa luxure s'apaise. Aux mots doux prononcés par mon beau-frère, qui ressemblait beaucoup à mon mari décédé... A mes amis masculins qui m'attendaient depuis trois ans... Aux hommes qui ont exigé mon corps pour payer la dette de mon mari... J'ai réprimé mon désir douloureux Quinze veuves qui ne peuvent pas se couper, enlèvent leurs vêtements de deuil, exposent leur belle peau et s'abandonnent aux plaisirs d'être une femme. Des veuves aux gros seins trop belles ! !