M. Hoshino, qui m'a exposé à la sensation d'un bâton de viande chaud, est revenu devant nous. Il semble qu'il passait des jours à se consoler en se rappelant que le lait était frotté violemment et que le pot de viande humide et la châtaigne étaient caressés avec sa langue, mais il ne pouvait pas le supporter et le contacta pour une stimulation. Et quand il insère le pénis déformant tant désiré, il se secoue, et dans le dos, il monte en dégoulinant de cyprine comme un déluge.