Un cabaret haut de gamme à Guilloppon, très touché par la récession. Il y a des rumeurs selon lesquelles les Agejou, autrefois considérés comme des fleurs de grande classe, vendent des oreillers pour attirer les clients. Ainsi, en utilisant des caméras cachées et des téléphones portables dans des chaussures, des sacs et des chapeaux, nous irons sous couverture et tirerons !