La belle peau douce d’une veuve qui regarde à travers l’interstice de ses vêtements de deuil. Chaque fois que je me souviens de mes activités nocturnes avec mon défunt mari, je me mouille. Une femme mûre d'une cinquantaine d'années qui est encore dans la fleur de l'âge est pleine de désir sexuel et d'orgasmes. Je me sens seule sans mon mari et j'ai envie de me noyer dans tellement de plaisir que j'oublie qu'il existe. La seule chose qui peut me faire oublier ma solitude, c'est la peau humaine et ce plaisir... Je ne peux pas vivre sans sexe. Une œuvre de 4 heures qui contient beaucoup de sexe culminant de huit veuves lascives de cinquante ans qui dévorent des pénis comme pour contrecarrer leur solitude.